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Dans le jargon des djeun's (et des banlieues), "bolos" désigne les petits bourgeois pas très durs, auxquels ont peut s'attaquer facilement. Par extension, les nullards, un peu lourds... Pourtant, en Argentine, mieux vaut éviter de se retrouver face à des "bolos"... bien utilisées.

Entrée dans le folklore argentin et uruguayen, la danse du "bolo" utilise un instrument de gaucho, qui peut se transformer en arme redoutable.

Luis Lopez, un artiste spécialiste de ce folklore, présente un numéro très réussi, dans le spectacle Saltimbanco du cirque du soleil. Vous pouvez aussi découvrir son savoir-faire en région PACA, où il se produit régulièrement lors de soirées de tango argentin. Luis Lopez sera notamment présent à Lançon de Provence, le 10 mars 2013 prochain.

Minute culturelle: le Bolo

Il s'agit en fait de ce lien auquel sont fixées 2 boules métalliques, 1 à chaque extrémité. À l'origine, les bolos étaient utilisés par les gauchos argentins (gardiens de troupeau), qui les envoyaient dans les pattes des animaux, pour les faire trébucher et les attraper. Une sorte de lasso, sans avoir besoin de rester accroché à la selle.
Le bolos est rapidement devenu une arme. Il faut savoir que les gauchos argentin ont joué un rôle important lors des guerres d'indépendance et luttes civiles du XIX° siècle

Voir une vidéo de danse argentine boleadora

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